Pas de règle pour s’en servir si ce n’est avoir du souffle, des oreilles solides.  Le principal danger ? Devenir sourd essentiellement ou provoquer l’ire des joueurs de l’équipe de France.

La vuvuzela, puisque c’est d’elle dont il est question, est d’ores-déjà la grande star de ce mondial. Vilipendée par le capitaine des Bleus Patrice Evra (comme avant lui les participants à la Coupe des Confédérations l’an dernier), elle a été adoubée par le patron de la FIFA, Sepp Blatter, et la star du Portugal Cristiano Ronaldo mais n’en finit pas de susciter la polémique. Pas un jour sans que son nom ne revienne en conférence de presse ou dans les journaux. Pour ou contre la vuvuzela : c’est désormais le débat à la mode.

Son entrée dans le dictionnaire ne fait en tout cas plus aucun doute. C’est l’ancien capitaine du Ghana Anthony Baffoe qui le dit. Pour lui une Coupe du monde en Afrique du sud sans vuvuzela c’est tout simplement inimaginable.